Pure suffocation. Pure supposition.
A l’appui d’un ou deux de ces regards.
Je sais quelle folie fut la mienne, et l’arrangue effroyable
de cet aller-retour.
Je suis derechef au rivage, sans saisir bien l’inopportun
songe que je devrais fuir.
À trop vouloir tenir, j’en oublie que je flotte.
Séparément, mes sens m’insufflent la sotte et fausse
impression de l’existence, je suis pourtant bien pâle.
Bien pâle.
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A vous les crayons...